Pour contribuer à l’amélioration des processus électoraux à venir et en vue de donner un aperçu des domaines où les réformes et l’assistance électorales seraient nécessaires, la SYMOCEL propose notamment la modification du mode d’élection des gouverneurs, des vice-gouverneurs et des sénateurs en élargissant leur électorat à tous les élus de la province (députés nationaux ; députés provinciaux et conseillers locaux), à défaut de transformer ce scrutin en élection directe.
Pour contribuer à l’amélioration des processus électoraux à venir et en vue de donner un aperçu des domaines où les réformes et l’assistance électorales seraient nécessaires, la SYMOCEL propose notamment la modification du mode d’élection des gouverneurs, des vice-gouverneurs et des sénateurs en élargissant leur électorat à tous les élus de la province (députés nationaux ; députés provinciaux et conseillers locaux), à défaut de transformer ce scrutin en élection directe.
La Mission d’Observation a fait cette déclaration à l’occasion de la publication ce jeudi 16 mai 2019 à Kinshasa, de son rapport d’observation des élections combinées (présidentielle, législatives et provinciales) de 2018 et 2019.
Les sénateurs et gouverneurs sont élus par les députés provinciaux, et des allégations de corruption avaient émaillé ces scrutins qui se sont tenus en mars dernier.
Pour le chef de la SYMOCEL, l’élargissement du collège électoral pourrait contribuer à réduire les possibilités de corruption des électeurs des gouverneurs et sénateurs.
Mathy Musau